[Chronique] Les chroniques de Hallow, tome 1 : Le ballet des ombres

Parution le 16 Septembre 2015

chez Bragelonne

  359 pages -  20 E
Série en cours

Abby possède le pouvoir d'absorber l'énergie des personnes qui l'entourent. Un don dont elle ignore presque tout et dont elle se sert surtout pour dévaliser des galeries d'art. Jusqu'au jour où elle fait la connaissance d'un policier qui semble porter en lui la capacité d'annuler son pouvoir... Leur rencontre va tous les deux les propulser dans un univers qui les dépasse et leur dévoiler la face cachée de Hallow, une métropole où même les ombres peuvent vous tuer.

Pourquoi ce livre ?
Car il a était écrit par Marika Gallman, tout simplement. Deuxièmement, car il était dans la dernière opération de Milady en numérique et aussi car j'ai suivi mon envie du moment.

De quoi parle t-il ?

Nous rencontrons Abby, une voleuse d'art et d'objet rare. Notre damoiselle va se fourrer dans un sacré pétrin, notamment car elle n'est pas comme tous les voleurs. En effet, Abby (je vous laisse la liberté de découvrir le véritable nom de la demoiselle) est porteuse d'un don : elle peut absorber l'énergie des dieux, ses derniers ayant disparu, l'énergie des gens lambdas est tout aussi agréable.

Abby a un sacré caractère. Vu que c'est la deuxième héroïne de ce genre écrit par cette auteure, je commence à me demander s'il n'y aurait pas un peu d'elle-même dans ces écrits.

J'ai eu beaucoup de mal à écrire cette chronique. J'ai plutôt apprécié ce tome mais il ne m'a pas emballé. J'ai été déçue par certaines longueurs, mais je pense qu'il est normal en début de série pour la mise en place. Le fait de devoir expliquer le pouvoir d'Abby, ses origines est vraiment complexe. Je trouve d'ailleurs que cela manque de clarté, ce qui nuit grandement au déroulé de l'histoire. Par contre, j'aime toujours autant l'humour de l'auteur et ses touches de l'air de ne pas y toucher.

En conclusion ?

Je lirai certainement le tome 2 et j'en attend beaucoup afin de changer d'avis. Mais je pense aussi qu'aimer toutes les œuvres de quelqu'un est rare. Cela dépend aussi du moment où l'on a lu un roman, de son état d'esprit et de son envie du moment.